Le projet à visiter à la Maison des Réfugiés à partir du 29 juin
Des Lucioles au Café Papote, paroles d’exil
Le CEDRE-SCCF s’est associé à l’association les Lucioles du doc, mi-novembre 2019, pour collaborer à la construction d’un projet artistique d’expression publique.
Au sein du café papote, porte d’entrée du CEDRE, l’équipe des Lucioles a posé la table à lettres, appareils photos jetables et micro, pour donner vie à ce qui est actuellement affiché dans les rues parisiennes.
Dans ce lieu de vie fraternel, autour du thé et du café, dans une ambiance conviviale ponctuée de sons des jetons de dominos et des parties de cartes, les visiteurs d’un jour ou habitués se posent, échangent, s’entraident, chargent énergie ou téléphone, participent selon les envies et talents. C’était de fait le bon endroit pour le bon projet.
Et si Juliette des Lucioles nous présentait ce projet :
‘Au démarrage de cette belle aventure, l'équipe des Lucioles et l'équipe de bénévoles du café papote du CEDRE y sont allées un peu à tâtons : nous savions que nous avions envie de construire une expression publique, sur la base de textes et de photos, peut-être de son’.
Et Dolphy bénévole au café papote de dire : ‘au début comme une partie de mes camarades, on ne comprenait pas très bien le projet’. Il a fallu du temps pour s'acclimater les uns aux autres, les Lucioles au café papote et vice-versa.
La Luciole continue : ‘Au fur et à mesure, la proposition s’est affinée d’élaborer collectivement des affiches qui seraient collées sur les murs de Paris et diffusées sur internet. L'idée n'était pas forcément d'avoir des affiches "revendicatives" mais de créer à partir du singulier, de l'intime, et pourquoi pas de paroles revendicatives si cela ressortait, des affiches qui, de toutes façons, parce qu'elles porteraient dans l'espace public des paroles de personnes que l'on veut de plus en plus éloigner dudit espace, seraient totalement politiques.’
Le CEDRE-SCCF s’est associé à l’association les Lucioles du doc, mi-novembre 2019, pour collaborer à la construction d’un projet artistique d’expression publique.
Au sein du café papote, porte d’entrée du CEDRE, l’équipe des Lucioles a posé la table à lettres, appareils photos jetables et micro, pour donner vie à ce qui est actuellement affiché dans les rues parisiennes.
Dans ce lieu de vie fraternel, autour du thé et du café, dans une ambiance conviviale ponctuée de sons des jetons de dominos et des parties de cartes, les visiteurs d’un jour ou habitués se posent, échangent, s’entraident, chargent énergie ou téléphone, participent selon les envies et talents. C’était de fait le bon endroit pour le bon projet.
Et si Juliette des Lucioles nous présentait ce projet :
‘Au démarrage de cette belle aventure, l'équipe des Lucioles et l'équipe de bénévoles du café papote du CEDRE y sont allées un peu à tâtons : nous savions que nous avions envie de construire une expression publique, sur la base de textes et de photos, peut-être de son’.
Et Dolphy bénévole au café papote de dire : ‘au début comme une partie de mes camarades, on ne comprenait pas très bien le projet’. Il a fallu du temps pour s'acclimater les uns aux autres, les Lucioles au café papote et vice-versa.
La Luciole continue : ‘Au fur et à mesure, la proposition s’est affinée d’élaborer collectivement des affiches qui seraient collées sur les murs de Paris et diffusées sur internet. L'idée n'était pas forcément d'avoir des affiches "revendicatives" mais de créer à partir du singulier, de l'intime, et pourquoi pas de paroles revendicatives si cela ressortait, des affiches qui, de toutes façons, parce qu'elles porteraient dans l'espace public des paroles de personnes que l'on veut de plus en plus éloigner dudit espace, seraient totalement politiques.’
