L'artiste Séverine Sajous de Jungle Eyes a réalisé 15 portraits - regards de personnes exilées en période de confinement
Pour la journée internationale des migrants, dans le contexte de pandémie, la Maison des Réfugiés partage le projet « Ici, d’ailleurs »
Lors de cette deuxième période de confinement, la Maison des Réfugiés a invité la photographe participative Séverine Sajous du collectif Jungle Eyes a ouvrir les regards et libérer la parole des personnes exilées sur cette situation inédite.
C’est ainsi qu’est né le projet "Ici, d'ailleurs ». Un studio photo dans la Maison des Réfugiés pour inviter à l'évasion, et encourager à réfléchir sur les conséquences du confinement.
"Et si tu pouvais sortir, où irais-tu?"
Une carte postale est réalisée à partir de leurs mots, de leurs images, de leurs souvenirs et de leurs espoirs. On ouvre une fenêtre, car notre confinement d’aujourd'hui est le leur de tous les jours. Empêchés de circuler librement, de retrouver leurs proches et de se projeter dans l’avenir.
Ces cartes postales sont postées ce 18 décembre 2020, Journée Internationale des Migrants, à une centaine de Parisiens, afin d’interpeler nos concitoyens.
Voici leurs portraits
Lors de cette deuxième période de confinement, la Maison des Réfugiés a invité la photographe participative Séverine Sajous du collectif Jungle Eyes a ouvrir les regards et libérer la parole des personnes exilées sur cette situation inédite.
C’est ainsi qu’est né le projet "Ici, d'ailleurs ». Un studio photo dans la Maison des Réfugiés pour inviter à l'évasion, et encourager à réfléchir sur les conséquences du confinement.
"Et si tu pouvais sortir, où irais-tu?"
Une carte postale est réalisée à partir de leurs mots, de leurs images, de leurs souvenirs et de leurs espoirs. On ouvre une fenêtre, car notre confinement d’aujourd'hui est le leur de tous les jours. Empêchés de circuler librement, de retrouver leurs proches et de se projeter dans l’avenir.
Ces cartes postales sont postées ce 18 décembre 2020, Journée Internationale des Migrants, à une centaine de Parisiens, afin d’interpeler nos concitoyens.
Voici leurs portraits